Ce fut un jour, pas comme les autres. La lumière jaillit jusqu'à ma sensation de liberté. C'est grâce à toi que j'ai pû avoir cette satisfaction auquel je n'avais jamais ressenti, je portais le numéro 0.
Ce fut une année, où tu m'as apporté autant d'amour qu'au début. Cette année où j'ai prouvé ton amour en disant ton prénom. Mais il ne fallait pas que j'oublie une chose que j'ignorais. C'etait peut-être le numéro 1 ?
Ces années qui se sont écoulées, cela m'a fait bizarre d'entendre des cris de douleurs et de désespoirs.. Avais-je le droit de comprendre? La phrase était la même. J'affichais le numéro 5.
"Je ne peux toujours pas savoir ?", non, il ne fallait pas que je force, mais ma curiosité prend le dessus. "Tu me le dira?", cette fois-ci, c'est le "Peut-être" qui allait me faire comprendre le sens de la vie. Le nombre s'éclaircit, le nombre 10.
C'est maintenant l'Année avec le grand "A". Pourquoi tu ne me l'avais pas dit ? Je n'ai pas pû lui dire au revoir même si elle ne serait pas là. J'aurais dû lui donner mon amour, peut-être qu'elle aurait vécu le même chiffre 0 que moi? ... Maintenant je comprends, c'était elle qu'il ne fallait pas que j'oublie. Désolé je n'ai rien pû faire pour te faire admirer cette lumière de la vie.
Je suis désolé petite sœur.